Archives de Catégorie: Nouvelle Zélande

« Refugees welcome » en Nouvelle Zélande

Ce samedi 19 septembre un rassemblement était organisé Place Aotea à Auckland (Nouvelle Zélande) pour l’ouverture des frontières et l’accueil des réfugiés.

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Nouvelle Zélande : Victoire syndicale pour le 1er Mai

En Nouvelle-Zélande, le refus des « contrats 0 heures » est au coeur des revendications du 1er Mai. Ces contrats, en effet, permettent aux patrons d’utiliser les travailleurs comme bon leur semble, un nombre indéterminé d’heure chaque semaine, voir ne pas proposer d’heures du tout… et donc un salaire indéterminé pour l’ouvrier.

C’est juste après minuit, donc ce 1er Mai, que le syndicat Unite ! a arraché un accord mettant fin aux « contrats zéro heures » chez Mac Donald. Selon cet accord, le patron s’engage à assurer 80% du temps de travail et de la rémunération mensuels du travailleur. Selon le syndicat Unite !, c’est une première étape dans la lutte contre les « contrats 0 heures » et un point d’appui pour construire le rapport de force dans les autres chaînes de restauration rapide du pays.

Manifestations des travailleurs de la restauration rapide

Alors qu’aux Etats-Unis des manifestations étaient organisées pour un salaire minimum de 15$ de l’heure (voir les vidéos des Etats-Unis), dans d’autres pays, les travailleuses et travailleurs de Mac Donald et d’autres entreprises de restauration rapide en ont profité pour manifester pour leurs salaires et conditions de travail.

– Brésil (Sao Paulo) :

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Lutte mondiale des travailleurs de la restauration rapide

Ce 15 mai les travailleurs des fast-food se sont mobilisés dans 150 villes à travers les Etats-Unis pour réclamer un salaire minimum de 15 $ de l’heure et pour la liberté sydicale. Ils ont été rejoint par des grèves, des rassemblements et des manifestations de travailleurs de fast-food dans plus de 30 autres pays à travers le monde, tant les travailleurs, que ce soit dans la restauration comme ailleurs, ont un même intérêt et une même lutte à mener par delà les frontières.

Images et vidéos du mouvement aux Etats-Unis et ailleurs

– Etats-Unis :

Boston

Charlotte

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Mobilisation mondiale pour des salaires décents dans les fast-foods

Les Nouvelles, 9 mai 2014 :

Le mouvement des employés de fast-foods aux États-Unis devrait prendre une nouvelle ampleur le 15 mai, avec des actions de soutien dans de nombreux pays.

Ce devrait être le plus grand mouvement de grève jamais observé dans les fast-foods. Jeudi 15 mai, des actions sont prévues dans une trentaine de pays contre la précarité que subissent les salariés des grandes chaînes de restauration rapide. Il s’agit plus particulièrement de soutenir les salariés aux États-Unis qui réclament un salaire minimum de 15 dollars de l’heure – soit le double du salaire moyen actuel.

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Luttes pour les salaires dans la restauration rapide

Yahoo News, 7 mai 2014 :

Depuis plus de deux ans, le mouvement de colère contre les bas salaires dans l’industrie de la restauration rapide n’arrête pas de s’étendre partout aux États-Unis.

Voilà qu’il s’étend à travers le monde. Le 15 mai, des travailleurs de la restauration rapide prévoient une journée de grève dans 150 villes des États-Unis, accompagnée de protestations dans une trentaine de pays, selon des sources recueillies par le site de nouvelles et d’analyses américains Salon.

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Une femme sur 14 a déjà subie une agression sexuelle

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Pour la première fois, une enquête internationale menée par la revue médicale britannique The Lancet, mesure l’étendue des agressions sexuelles dans le monde (hors conjoint ou partenaire habituel). 7% des femmes interrogées affirment avoir été attaquées par une personne étrangère. Dans certaines régions comme l’Afrique la violence est endémique. Mais les viols sont aussi très nombreux en Europe.

Aujourd’hui, les femmes sont encore largement victimes de violences sexuelles dans le monde. Selon une étude menée par la revue médicale anglaise The Lancet, une femme sur quatorze a déjà été confrontée à ce type de violence. L’étude a porté sur des agressions ayant été commises par une personne étrangère, autre que le conjoint ou le partenaire habituel. Les chercheurs ont étudié la situation dans 56 pays au total en se basant sur plus de 7 000 études, publiées entre 1998 et 2001. Au total, 7,4 % des femmes interrogées ont reconnu qu’elles avaient été agressées sexuellement par des personnes qui n’étaient ni leur conjoint, ni leur petit ami. « Les viols et les meurtres de jeunes femmes commis en Inde et en Afrique du Sud ont attiré l’attention internationale », explique l’étude en guise d’introduction. « Bien qu’il soit tentant de voir dans ces atrocités des événements isolés, les violences sexuelles doivent être considérées comme faisant partie d’une réalité plus globale, à savoir les agressions subies quotidiennement par les femmes. »  Lire la suite

Partout dans le monde, colère après la sanglante répression à Marikana

Partout dans le monde, la sanglante répression des ouvriers de la Mine de Marikana par la police sud-africaine le 16 août a provoqué la consternation et la révolte des militant(e)s ouvriers.

C’est bien entendu en Afrique du Sud d’abord que cette colère s’est immédiatement manifestée. Sur le site de la mine de Marikana, ni la répression sanglante ni les menaces de licenciements des grévistes n’ont mis fin à la grève. Au contraire, deux autres mines de platine se sont aussi mises en grève dès le et le vendredi 17 août, lendemain du massacre, des centaines de femmes ont manifesté à Marikana contre les violences policières qui ont assassiné leurs maris et leurs fils. Les organisations anarchistes sud-africaines (Tokologo Anarchist Collective, Zabalaza Anarchist Communist Front et Inkululeko Wits Anarchist Collective) ont immédiatement condamné le massacre dans un communiqué « L’ANC se démasque, des travailleurs assassinés » ; Ayanda Kota, porte-parole du Mouvement des Chômeurs (Unemployed People’s Movement) à Grahamstown a dénoncé « une monumentale escalade de la guerre contre les pauvres » et au nom du mouvement Abahlali baseMjondolo, mouvement des mal-logés des bidonvilles, Bandile Mdlalose, a déclaré : « Maintenant que les grévistes de Marikana ont été tués, ils en parlent comme s’il s’agissait d’une catastrophe naturelle, alors qu’en fait c’est une catastrophe politique perpétrée par les capitalistes et les politiciens. Allons-nous rester les bras croisés et regarder chacun de nos mouvements se faire écraser un par un ? Combien d’entre nous doivent mourir avant que nous soyons reconnus et inclus dans la société ? Combien d’entre nous doivent mourir avant que la terre et la richesse soit équitablement partagées et que chacun ait son mot à dire dans toutes les décisions qui le concernent ? Quand les opprimés se lèveront-ils et parleront-ils d’une seule voix ?« . Le groupe d’obédience trotskiste Democratic Socialist Movment a lui publié une déclaration dès le 17 août appelant à la grève générale dans toutes les mines du nord-ouest du pays (voir le texte en anglais).

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Nouvelle-Zélande : Les dockers d’Auckland ont obtenu gain de cause !

La Fédération Internationale des Ouvriers du Transport nous écrit « Les nouvelles d’Auckland aujourd’hui sont positives, le lock-out aux ports d’Auckland est levé de telle sorte que les dockers peuvent retourner au travail sur leurs quais habituels ».

« Suite à une audience devant un tribunal industriel, la direction a mis un terme à ses projets de sous-traitance qui ont entraîné le licenciement de 300 travailleurs. Elle est prête à retourner à la table de négociation avec l’Union Maritime de la Nouvelle-Zélande (MUNZ) ».

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Nouvelle Zélande : Solidarité avec les ouvriers portuaires lock-outés

Campagne Labourstart en partenariat avec la Fédération Internationale des Ouvriers du Transport, une fédération syndicale internationale de 690 syndicats représentant plus de 4,5 millions de travailleurs des transports dans 153 pays.

300 dockers d’Auckland vont être licenciés pour permettre aux autorités portuaires (POAL) de sous-traiter leur travail d’acconage. Les ouvriers et leurs familles se battent pour la sécurité de leurs emplois et leurs droits syndicaux.

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