Archives de Catégorie: Guinée-Bissau

Guinée-Bissau: Grève de dix jours des travailleurs de la Radio nationale

French China, 9 septembre 2016 :

Les travailleurs de la Radio nationale de Guinée-Bissau ont entamé vendredi une grève de dix jours pour exiger, entre autres, le paiement de salaires en retard, a-t-on appris de source syndicale.

« Cette grève est irréversible, tant que le gouvernement ne paiera pas de salaires et primes en retard », a affirmé le président du syndicat de la radio, Cussa Cissé.

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Nouvelle grève dans le secteur de l’éducation en Guinée-Bissau

VOA, 21 avril 2016 :

La grève, déclenchée la veille par les syndicats d’enseignants réclamant une amélioration des conditions salariales et de travail, a paralysée les écoles publiques du pays jeudi.

Selon le syndicat, elle devrait durer un mois.

A Bissau, la capitale, il n’y a pas eu classe depuis mercredi dans les écoles primaires et secondaires visitées par un journaliste de l’AFP. La situation était similaire dans plusieurs villes de l’intérieur, selon des résidents de ces localités joints par téléphone.

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Les travailleurs de la municipalité de Bissau décrètent une grève de trois jours

APA, 3 septembre 2014 :

Les travailleurs de la mairie de Bissau ont entamé ce mardi une grève de trois jours, exigeant le paiement de trois mois d’arriérés de salaire et des améliorations des conditions de travail.

Selon le président du syndicat de la mairie de Bissau, Luís Simões Intchama, le gouvernement a appelé à la suspension de la grève, en raison de la croissante propagation du virus Ebola dans la sous-région.

« La grève ne sera suspendue qu’après le paiement intégral des arriérées», a déclaré M.Simões Intchama.

Guinée-Bissau : grève de trois jours dans la fonction publique

Xinhua, 24 avril 2014 :

Une grève de trois jours a été déclenchée dans la fonction publique de la Guinée-Bissau par les deux plus grandes centrales syndicales du pays, l’UNTG et la CGSI, pour exiger le paiement de quatre mois d’arriérés de salaires, a-t-on appris de source syndicale.

« Le gouvernement de transition est principalement responsable de la situation sociale difficile qui prévaut dans le pays », a affirmé le secrétaire général de l’UNTG, Estevao Gomes Co.

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Grève générale de cinq jours à l’appel de syndicats bissau-guinéens

APA-Bissau (Guinée-Bissau), 16 décembre 2013 :

Une grève générale de cinq jours a été déclenchée ce lundi en Guinée-Bissau, à l’appel de l’Union nationale des travailleurs de Guinée-Bissau (UNTG) et de la Confédération générale des syndicats indépendants (CGSI).

A cause de cette grève prévue jusqu’à vendredi, la paralysie est totale dans tous les services publics et privés, notamment le transport, les marchés et les écoles publiques. Ainsi, faute de transport, des milliers de personnes sont obligées de marcher plus de 3 km pour se rendre au centre-ville, a constaté APA.

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Guinée-Bissau : Plus d’un mois de grève dans l’éducation

Afriquinfos, 29 octobre 2013 :

Plus d’un mois après l’ouverture officielle de l’année scolaire, le 16 septembre, en Guinée-Bissau, les cours dans les écoles publiques n’ont pas encore commencé en raison d’une grève déclenchée par deux syndicats des enseignants pour une période de 60 jours francs ( sans compter les samedis, dimanches et jours fériés), a constaté un journaliste de Xinhua. Les syndicats exigent notamment le paiement total des salaires à terme échu.

Guinée-Bissau : Grève des travailleurs de l’eau et de l’électricité

Angola Press, 18 juillet 2013 :

Les travailleurs de la société Eau et Electricité de Guinée-Bissau (EAGB, publique) revendiquant des arriérés de salaires ont entamé mercredi une grève de cinq jours, a appris l’AFP auprès de leur syndicat, alors que le mouvement a privé de nombreux foyers d’eau et de courant à Bissau.

Ils réclament le paiement de 39 mois d’arriérés de salaires et de meilleures conditions de travail, a affirmé à l’AFP Famara Djassi, le président de leur syndicat affilié à l’Union nationale de travailleurs de Guinée-Bissau (UNTG), selon lequel en cas de non-accord sur leurs revendications, l’arrêt de travail sera reconduit. Un service minimum était cependant assuré pour certains secteurs comme des hôpitaux.

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Grève dans l’éducation en Guinée-Bissau

AFP, 18 février 2013 :

Des enseignants des secteurs primaire et secondaire publics de Guinée-Bissau ont entamé lundi une grève de plus d’un mois pour réclamer notamment le paiement d’arriérés de salaires, a-t-on appris auprès de leurs syndicats.

« Nous lançons un mot d’ordre de grève jusqu’au 29 mars », soit quarante jours d’arrêt de travail, a déclaré à l’AFP Luis Nancassa, un responsable du syndicat national des enseignants (Sinaprof).

Le Sinaprof et le syndicat démocratique des professeurs (Syndeprof), les principaux syndicats d’enseignants, ont déclenché la grève pour réclamer le paiement de quatre mois d’arriérés de salaires des professeurs en attente d’intégration, le paiement des salaires de ceux récemment embauchés, et une nouvelle grille salariale tenant compte de l’ancienneté et des diplômes.

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Guinée-Bissau : Grève du personnel soignant des hôpitaux

Afri Scoop, 4 janvier 2013 :

Le personnel soignant des hôpitaux de la Guinée-Bissau a déclenché ce jeudi une grève d’une durée de 20 jours, du 3 au 23 janvier, a annoncé à la presse le président de leur syndicat, Domingos Samy.

Selon lui, le mouvement de grève a été déclenché parce que « le gouvernement de transition n’a pas respecté ses engagements après la dernière grève du 12 décembre qui a duré huit jours ».

« L’Etat nous doit cinq mois d’arriérés de salaires et de primes d’heures supplémentaires. Ce qui veut dire que nous n’avons perçu qu’un seul des six mois de salaire que nous réclamons depuis décembre dernier », a-t-il précisé.

Grève des travailleurs des hôpitaux et centres de santé de Guinée-Bissau

Afriquinfos, 13 décembre 2012 :

Le personnel soignant des hôpitaux et centres de santé de Guinée-Bissau a déclenché ce mercredi une grève de huit jours pour réclamer à l’Etat six mois d’arriérés de salaires et de primes, d’heures supplémentaires dues aux nouvelles recrues, a-t-on appris de source syndicale.

Le président du syndicat du personnel soignant, Domingos Samy, a déclaré à la presse que le mouvement qui consiste à paralyser tout le système de santé, a été suivi à 95%.

« Nous exigeons, par ailleurs, la titularisation dans la fonction publique des nouvelles recrues, tout comme la promotion des anciens dans le métier », a-t-il indiqué.