Nouvelle action de la CGT contre la loi El Khomri, au péage de Lançon. Les syndicalistes se sont adressés cette fois-ci aux automobilistes qui partent en vacances, leur rappelant que les congés payés avaient été gagnés par l’action syndicale.
« 1936-2016 : la CGT vous souhaite de bons congés »… Voilà le titre de l’affichette distribuée par les syndicalistes ce matin aux automobilistes en route pour les vacances. Ce samedi 2 juillet est une journée de grand départ pour les juilletistes.
Pour protester contre la loi travail, un regroupement de syndicats et des membres de Nuit debout ont mené une action « péage gratuit » à Gerzat sur l’A71 ce samedi matin.
Dès 7h15 samedi matin, une cinquantaine de personnes des syndicats FO, CGT, Sud, Confédération paysanne et des militants de Nuit debout étaient rassemblés au niveau du péage de Gerzat sur l’autoroute A71.
Trois à quatre cents personnes défilent dans les rues de Digoin en Saône-et-Loire samedi 2 juillet 2016, pour protester contre la fermeture annoncée de l’usine Allia. Un cortège qui réunit des employés de l’entreprise, des élus et des habitants.
La colère ne retombe pas à Digoin, après l’annonce en mai dernier par Allia, numéro un du sanitaire français, de fermer ses deux sites de production français, dont celui de Saône-et-Loire. A l’appel de l’intersyndicale, 3 à 400 personnes ont défilé samedi 2 juillet 2016 dans les rues de la ville, pour soutenir les 177 salariés de l’usine, dont 147 risquent de perdre leur emploi.
C’est la fin d’un mouvement long de sept mois ! Les 12 postiers de Rivesaltes en grève depuis plus de 200 jours ont obtenu gain de cause. Ils vont reprendre le travail.
Ils sont douze. Douze salariés de La Poste, à avoir engagé un bras de fer avec leur direction depuis 214 jours. « Une lutte âpre et acharnée » selon Jean-Michel Sol, délégué syndical Sud. Un mouvement très « dur, psychologiquement et physiquement ».
« Face à la crise des réfugiés, une bonne partie du monde réagit avec hésitation ou hostilité », écrit le New York Times, rappelant la situation politique et sociale au Moyen-Orient, en Europe et aux Etats-Unis, et le cimetière qu’est devenue la mer Méditerranée. « Mais de l’autre côté de la frontière [américaine], le gouvernement canadien peine à gérer les demandes de citoyens qui veulent les accueillir. »
Une longue enquête se penche sur ce « modèle canadien » qui détonne par son ouverture et son approche. Après son élection en octobre 2015, le premier ministre, Justin Trudeau, s’était engagé à accueillir 25 000 hommes, femmes et enfants avant la fin de l’année 2015. Le chiffre a depuis gonflé de plusieurs dizaines de milliers de personnes.
Mardi et mercredi, les salariés de l’usine Thorn Europhane aux Andelys ont débrayé deux fois deux heures. Ils menacent de recommencer lundi, voire de durcir le mouvement si besoin est, selon les syndicats CFDT, CGT et CFE-CGC. À l’origine de ce conflit, les salaires.
« Depuis deux ans, on nous fait des promesses, on nous dit que l’usine va bien et dégage des profits. On voudrait bien en partager la valeur ajoutée, en reconnaissance du travail effectué », souligne Olivier Mussche (CFDT).
Mardi 5 et jeudi 7 juillet, l’intersyndicale CGT-CFDT du personnel hospitalier appelle à une troisième et quatrième journées de mobilisation. Une deuxième réunion de négociation avec la direction est prévue ce lundi, à 14 h 30.
Le premier ministre Manuel Valls a été hué ce soir à Montpellier par plusieurs dizaines d’opposants au projet de loi travail. Alors que la présidente de la région Occitanie, Carole Delga, venait de finir son discours sans encombre dans le parc du Peyrou, face à la statue de Louis XIV, des huées se sont fait entendre dès le début de la prise de parole de Manuel Valls consacrée à l’inauguration d’une ligne de tramway. Les opposants au projet de loi, dont certains portaient des pancartes CGT, Nuit debout ou encore NPA, étaient massés devant la scène sur laquelle se trouvait le premier ministre, Carole Delga et le maire et président de la métropole de Montpellier, Philippe Saurel (DVG).
« La démocratie c’est le respect et l’écoute de chacun », a lancé le premier ministre en poursuivant son discours, couvert de bout en bout par des sifflets fournis. Les manifestants, qui étaient parvenus à entrer dans le parc malgré un dispositif de sécurité massif et notamment des filtrages et des fouilles systématiques aux entrées du parc, scandaient « A bas la loi travail ! ». Certains portaient des « cartons rouges » sur lesquels était inscrit « 49/3 ».
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