Archives quotidiennes : 04/03/2015

Affiches du Parti Communiste-Ouvrier du Kurdistan pour le 8 mars

Affiches du Parti Communiste-Ouvrier du Kurdistan (Irak) pour le 8 mars 2015 :

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Au CHU de Nantes, infirmiers et aides-soignants refusent les astreintes

À l’occasion d’une visite d’experts à l’hôpital, des agents se sont mobilisés, ce mardi, à l’appel de trois syndicats.

Infirmiers et aides-soignants protestent en particulier contre les astreintes de week-end. | Archives Ouest-France

Infirmiers et aides-soignants protestent en particulier contre les astreintes de week-end. | Archives Ouest-France

ouest-france.fr, 3/03/2015

Le CHU de Nantes reçoit depuis ce mardi les experts de la Haute Autorité de Santé (HAS) mandatés pour la certification de l’hôpital. Il s’agit d’une procédure d’évaluation externe des établissements de santé publics et privés « qui permet d’attester de la sécurité et de la qualité des soins ». Trois syndicats, la CGT, FO et Sud, se sont saisis de cette visite pour protester. Ils se sont réunis en assemblée générale, cet après-midi. « Nous savons tous que les conditions de travail et de prise en charge des patients sont souvent en total décalage avec les règles professionnelles », arguent les syndicats. Ils se mobilisent en particulier contre les astreintes de week-end des infirmiers et aides-soignants. « Pour pouvoir développer l’organisation des soins en ambulatoire, les effectifs des agents ont été réduits, explique Bruno Cassard, du syndicat Sud. Du coup, des astreintes ont été mises en place pour faire face aux absences inopinées le week-end. Ces personnels travaillaient déjà un week-end sur deux avant cela. Ça ne passe pas ! » Pour la direction du CHU, « c’est un mode d’organisation classique pour garantir la continuité des soins et qui permet de ne pas rappeler des agents à la dernière minute ».

Paris : Manifestation de soutien aux mineurs isolés étrangers

La situation des mineurs isolés étrangers (MIE) sur le territoire est extrêmement grave et préoccupante.

Ils sont sans ressources propres et sans famille pour les accueillir ils sont totalement livrés à eux-mêmes, ils dorment dans la rue, ils ont froid, ils ont faim, ils ne peuvent se soigner, se déplacer, se laver, laver les quelques affaires qu’ils portent sur eux.

Les mineurs isoles étrangers doivent être protégés, pris en charge, scolarises !

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Elise Lucet au patron de Sanofi : vous gagnez « 508 fois le smic, ce n’est pas trop ? »

Vidéo ajoutée le 3 mars 2015 sur Youtube :

Extrait de L ‘émission Cash investigation ce mardi 3 mars sur France 2.

midilibre.fr, 3/03/2015 :

L’émission Cash investigation ce mardi 3 mars sur France 2 s’en prenait aux « actionnaires qui prennent nos emplois » à revoir sur FranceTvInfo. Un extrait montre la journaliste Elise Lucet interpellant le patron de Sanofi sur sa rémunération. Lire la suite

Réunion CGT sur la loi Macron à Besançon

Info de l’UL CGT Besançon :

Tout est bon pour les patrons dans la loi Macron.

Recul social, régression, mépris, stigmatisation, culpabilisation, salaire en berne…la liste n’est pas exhaustive…loi-macron

Contre cette loi scélérate et afin d’en expliquer les finalités pour le patronat, nous vous invitons à venir nombreux le 10 Mars 2015 de 17h00 à 19h00 (5 à 7), à l’Union Locale CGT, 4 B rue Léonard de Vinci à Besançon Planoise (Maison des Syndicats) syndiqués ou pas, à en connaitre les contours pour mieux la combattre et de porter nos revendications sur nos lieux de travail.. Ce 5 à 7 sera animé par un camarades de l’inspection du travail.

Besançon : Nouvelle réunion des ouvrières et ouvriers du nettoyage

Après une première réunion des salariés du nettoyage le 23 février, l’UL CGT de Besançon organise, avec des militantes et militants CGT du secteur, une nouvelle réunion ouverte à toutes les ouvrières et à tous les ouvriers du nettoyage le jeudi 26 mars à 14 heures, dans les locaux de l’UL CGT, 4 B rue Léonard de Vinci à Besançon (Planoise).

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Voir le tract d’appel :
– En français : Ouvrières et ouvriers du nettoyage2
– En arabe : nettoyage_arabe2
– En serbo-croate : Ouvrières et ouvriers-srbski2

La lutte à la SNIM de Zouerate

Alors que les travailleurs du site de Nouadhibou sont entrés en grève illimitée, les ouvriers de la SNIM ont une fois encore manifesté le 3 mars dans les rues de Zouerate. Le même jour, plusieurs centaines de femmes ont manifesté contre la fermeture de tous les services sociaux aux familles des mineurs en grève.

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Zouerate : Les femmes dans la lutte des ouvriers de la SNIM

L’Authentique, 3 mars 2015 :

Des sources journalistiques rapportent que le Wali du Tiris Zemmour a reçu hier trois femmes parmi la centaine qui manifestait devant ses bureaux. Les entretiens auraient porté sur la grève menée depuis plus d’un mois par les travailleurs de la Société industrielle et minière (SNIM). Selon les mêmes sources, les femmes auraient protesté contre la fermeture de tous les services sociaux aux familles des mineurs en grève. Selon elles, la SNIM n’existe que par la volonté de ses travailleurs et que la direction n’a aucun droit de les empêcher eux et leur famille d’avoir accès aux services sociaux de base de la société.

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Une formidable armada de forces de l’ordre aurait été déployée aux alentours du siège de la Wilaya en prévision de tout débordement alors que des centaines de femmes qui avaient entamé une marche à travers la ville de Zouerate étaient venues se planter sous les fenêtres du gouverneur.

Nouadhibou : les travailleurs de la SNIM entrent en grève

ALAKHBAR, 3 mars 2015 :

Les travailleurs de la SNIM-Nouadhibou ont rejoint la grève générale de leur collègues de Zoueirat , depuis ce mardi 3 mars.

Atelier de la SNIM à

Atelier de la SNIM à Nouadhibou en grève

Les grévistes de Nouadhibou ont accusé la Société nationale industrielle et minière de « non respect » de l’accord relatif aux conditions préalables aux négociations prévues avec les travailleurs.

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Le mouvement de libération des femmes contre la barbarie mysogine

Appel à l’occasion du 8 mars de femmes d’Iran, d’Irak, de Tunisie, d’Egypte et d’Afghanistan

Le 8 mars est la journée internationale des femmes, une journée de protestations à travers le monde contre l’inégalité et les discriminations envers les femmes. Nous sommes des femmes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord et ce texte est notre appel contre la discrimination et la barbarie misogyne. Pour ce 8 mars en particulier, nous devons montrer notre détermination et notre unité contre l’islamisme politique, c’est-à-dire la barbarie des islamistes au pouvoir ou dans l’opposition, les forces criminelles misogynes dans cette partie du monde. Notre appel est donc notre déclaration, notre manifeste, déclarant notre résolution à être la voix du nouveau mouvement de libération des femmes dans les pays de la région et partout dans le monde.

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Il est pour nous clair que les inégalités et discriminations contre les femmes sont profondément encrées dans le système capitaliste industrialisé et moderne de notre époque. La division basée sur le genre dans la sphère de la production, et en conséquence la discrimination contre les femmes, est un facteur significatif qui garantit les plus hauts profits pour le capital et la subordination des femmes, qui fait de nous la base de la reproduction de ce cercle vicieux. Dans les pays contrôlés ou influencés par les règles islamistes de discriminations contre les femmes, elle se développe et prend un aspect de plus en plus violent. Dans les pays de notre région, les femmes ne sont pas seulement privées du droit fondamental de choisir leur partenaire, de divorcer, avoir la garde des enfants, d’étudier, de travailler, de voyager, ou même de s’amuser et de prendre du bon temps, mais elles sont aussi continuellement et systématiquement soumises à l’humiliation et à la violence sous différentes formes. En Iran par exemple, nous avons vu l’apparition de bandes soutenues par le régime pour jeter de l’acide sur le visage ou poignarder les fesses des femmes qui portent « un hidjab incorrect ». En Turquie, Recep Tayyip Erdogan, le président, prétend se réclamer d’un Islam « moderne et modéré », mais attaque les droits des femmes en déclarant que les femmes ne sont pas les égales des hommes. En Arabie Saoudite, les femmes doivent même lutter pour conduire une voiture. Au Pakistan et en Afghanistan, vendre des jeunes filles pour le mariage est courant et de facto légal, alors que leur éducation est l’enjeu d’une véritable guerre. Au Nigeria, en Syrie et en Irak, les bandes meurtrières de Boko Hara et de Daesh enlèvent, violent et vendent des filles comme esclaves. En Egypte, en Inde et au Pakistan, la presse rapporte régulièrement des viols collectifs contre des femmes. En deux mots, les organisations islamistes criminelles comme Daesh en Irak et en Syrie, Al-Qaeda et les Talibans au Pakistan et en Afghanistan, Boko Hara au Nigeria et les « lanceurs d’acide » en Iran ont fait passé la violence contre les femmes au stade du crime organisé contre les femmes.

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