Hier, une fois encore, France Télévision a permis à la millionnaire raciste Le Pen de déverser sa haine et sa démagogie. Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT à l’usine PSA Aulnay rappelle quelques vérité à cette grande bourgeoise :
Hier, une fois encore, France Télévision a permis à la millionnaire raciste Le Pen de déverser sa haine et sa démagogie. Jean-Pierre Mercier, délégué syndical CGT à l’usine PSA Aulnay rappelle quelques vérité à cette grande bourgeoise :
La Voix du Nord, 11 avril 2014 :
Les salariés du papetier Arjowiggins (groupe Sequana), menacés de perdre leur emploi, retiennent depuis jeudi une partie de leur direction sur le site de Charavines (Isère), a-t-on appris vendredi de source syndicale. Le groupe a aussi annoncé ce jeudi la cession ou la fermeture « en absence d’un repreneur » de l’usine de Wizernes (Pas-de-Calais), qui compte 307 employés.
« On a invité à dormir nos principaux dirigeants hier soir (jeudi, ndlr). On les retiendra tant qu’on n’aura pas de garantie de leur part sur le report du PSE » (plan de sauvegarde de l’emploi), a déclaré Julien Ricardi, délégué syndical CGT, confirmant une information de France Bleu Isère.
Quelques vidéos de la journée de grève générale du 10 avril en Argentine, grève qui a mobilisé des travailleurs de tous les secteurs d’activité contre la hausse des prix.
Piquets de grève de groupes ouvriers et d’extrême-gauche qui militent pour radicaliser la grève face à la bureaucratie syndicale :
Reuters, 11 avril 2014 :
Une grève générale de 24 heures a débuté jeudi 10 avril en Argentine, à l’appel de la puissante centrale syndicale CGT, pour protester contre l’inflation élevée et d’autres difficultés économiques. Les salariés négocient actuellement pour obtenir des augmentations qui compensent une inflation de l’ordre de plus de 30 % par an.
La CGT représente notamment des catégories comme les routiers et les dockers. Les chauffeurs de bus et les autres employés des transports ont également rejoint le mouvement, ralentissant l’activité dans les grandes villes comme Buenos Aires, Mendoza et Cordoba. L’activité dans le principal port céréalier du pays, Rosario, est également ralentie par le mouvement, mais aussi, depuis le 5 avril, par un conflit entre les syndicats représentant les dockers.
La Voix du Nord, 11 avril 2014 :
Ça coinçait, ça bouchonnait, ça roulait au ralenti, ce vendredi matin, aux abords de la zone commerciale Auchan Petite-Forêt. Comme ils l’avaient annoncé, des centaines de salariés se sont mis en grève, filtrant les accès à la zone, ce qui a nécessité l’intervention des policiers en début de matinée. Cela n’a pas suffi : vers 13h15, une gréviste s’est fait percuter par une voiture conduite par une cliente qui, manifestement, s’impatientait… Tout s’est terminé sur le coup de 15 heures, lorsque les syndicats et les salariés ont décidé de lever la grève.
La grève, débutée à minuit, a été levée à 15 heures. Les syndicats regrettent de n’avoir pu rencontrer la direction, restée inflexible sur les licenciements, mais se sont félicités de l’ampleur du mouvement. Selon eux, le mouvement a été suivi par 250 à 300 salariés. Concernant les deux agents de sécurité licenciés, c’est visiblement désormais aux Prud’hommes que leur sort pourrait se régler. FO annonçait néanmoins, ce vendredi, qu’une autre journée d’action est prévue dans les jours à venir.
Publié dans France, Luttes des travailleurs et mouvement ouvrier
Tagué Auchan, commerce, grève, licenciements, Petite-Forêt, Valenciennes
Ouest France, 11 avril 2014 :
44 salariés ont débrayé ce midi contre certaines conditions de travail. Il est question d’un nouveau débrayage à 15 h.
44 salariés de l’unité de production de l’entrprise Dirickx, basée à Congrier (Sud-Mayenne), ont tenu un piquet de grève devant les grilles de l’entreprise, ce midi.
Publié dans France, Luttes des travailleurs et mouvement ouvrier
Marianne, 11 avril 2014 :
L’équipementier automobile Trèves réclame à 85 ex-employés de son usine d’Aÿ, dans la Marne, le remboursement d’arriérés de salaires. L’entreprise avait fermé ses portes et licencié 150 personnes en 2010, à peine quelques mois après avoir touché une aide de 55 millions d’euros du Fonds de modernisation des équipementiers automobiles.
Rembourser 3 200 euros d’arriérés de salaires à son ex-employeur quand on est chômeur en fin de droit à 490 euros par mois. Il n’a pas fallu longtemps à Christine Tuffin pour résoudre l’équation : « Je ne peux pas payer ». Comme 84 autres anciens salariés de l’usine PTPM d’Aÿ, la filiale champenoise de l’équipementier automobile Trèves, Christine Tuffin a été sommée de reverser la somme touchée en 2011 pour compenser des années de bas salaires (rappels de salaire assortis de dommages et intérêts). Le tribunal des prud’hommes et la Cour d’Appel de Reims avaient octroyé cette réparation aux ex-PTPM peu après la fermeture du site d’Aÿ, en 2010.
Publié dans France, Leur société
Tagué Aÿ, licenciements, sous-traitance automobile, Trèves
La Provence, 11 avril 2014 :
A l’appel de la CGT, ils vont débrayer pendant une heure cet après-midi.
Ils l’avaient annoncé lors de leur assemblée générale extraordinaire il y a une semaine. Leur menace va être mise à exécution cet après-midi. Pendant près d’une heure, de 14 h à 14 h 50, une partie du personnel de l’hôpital Louis Raffalli sera en grève.
L’Union de l’Ardennais, 10 avril 2014 :
Courant d’air dans les caves. Grève chez Veuve-Clicquot, Moët, Krug, Mercier, Ruinart c’est-à-dire dans les cinq maisons du groupe LVMH et grève chez Pommery… le monde du champagne a le printemps frondeur. « Les négociations annuelles obligatoires sont en cours, d’où ces mouvements », explique Patrick Leroy, délégué syndical CGT chez Veuve-Clicquot et secrétaire général de la CGT champagne.
Depuis lundi, la production des maisons LVMH est perturbée par des débrayages. « On a commencé par trois heures lundi et depuis mardi, on arrête une heure par jour sous forme de trois arrêts de 20 minutes. » Suivi par 95 % du personnel, le mouvement provoque, selon les grévistes, une baisse de la production de 40 %. Cause principale du mouvement : une baisse de la participation aux bénéfices. « Les salariés ont 1 200 euros en moins alors que les résultats de l’entreprise n’ont pas baissé ». Cette baisse s’explique notamment par une hausse du budget marketing qui ampute les bénéfices et donc la participation : « Le budget du marketing a augmenté de 10 millions d’euros. On n’a rien contre le développement du marketing mais pas sur le dos des salariés », souligne M. Leroy.
Publié dans France, Luttes des travailleurs et mouvement ouvrier
Tagué Agroalimentaire, grève, LVMH, Moët, Pommery, salaires, Veuve Clicquot